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BAE dans le collimateur du Congrès

Il semblait que la puissance même du groupe britannique BAE le mettrait à l’abri de querelles trop vives de la part de l’édifice juridique du système. Au contraire, le plus remarquable dans les suites du scandale Yamamah dont BAE est le principal accusé et la décision d’abandon de l’enquête du Serious Fraud Office (SFO) contre BAE, le 15 décembre 2006, c’est la constance et la pugnacité de l’attaque contre BAE. On croyait que cette affaire serait enterrée par cette décision de décembre 2006 dont l’iniquité semblait garantir l’efficacité. Il n’en est rien. A côté de l’attaque de l’OCDE, il y a désormais un front américain… BAE dans le collimateur du Congrès