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aristocratie

Taine et l’élite festive en 1789

Taine et l’élite festive en 1789 L’irréprochable Régis de Castelnau se moque des bourgeois cathos qui vont manifester contre la MPA et revoter Macron après. Mais ces bourgeois se fichent là de leur tradition, car le Figaro-madame encense les homosexuelles mariées-cathos-bourgeoises… Rabelais en avait rêvé, la bourgeoise l’a fait :elle est folle à la messe et à la fesse. Bien avant l’époque dénigrée par Philippe Muray, l’élite française s’adonnait à l’île aux plaisirs et aux fêtes galantes ; car l’Ancien régime finissant voulait surtout s’amuser, quoiqu’en aient pensé mes maîtres Maistre ou Bonald. Dans son volume sur l’Ancien Régime, qui brasse bien sûr d’autres sujets… Taine et l’élite festive en 1789

Edmond Burke et la fin de la chevalerie

Edmond Burke et la fin de la chevalerie On connait Burke sans le lire. Or il se révèle un poète, un nostalgique, premier d’une belle lignée qui va jusqu’à Tolkien, comme je l’ai montré dans mes livres. C’est qu’avant la salle de bains américaine et le recyclage des eaux usées, le monde était plus pur. Burke aura justifié toute notre anglophilie de jeunesse. Je préfère Fogg ou Frodon à Rocambole et John Steed ou Brett Sinclair à Maigret. C’est simplement plus classe. L’anglais d’alors avait encore des racines et des ailes. Depuis, comme dit Tolkien, nous sommes du beurre étalé sur trop de pain. Savourons… Edmond Burke et la fin de la chevalerie