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Parce que nous sommes en guerre…

Parce que nous sommes en guerre… 25 avril 2021 – Reprenant, avec un titre à peine modifié (à partir de « Puisque nous sommes en guerre »), le texte d’une intervention en faveur de nos donations mensuelles, je parlerai à mon tour, et sans doute une fois de plus, d’une >guerre civile communicationnellebon chic bon genre< dans le New York Times et le Washington Post. Pour être juste dans les mots, je dirais que la situation de la communication du type zombieSystème n’est pas, chez nous, en Europe, similaire ou identique à la celle des USA, mais qu’elle est complètement analogue à elle. Vous comprenez,… Parce que nous sommes en guerre…

Parce que nous sommes en guerre…

Parce que nous sommes en guerre… 25 avril 2021 – Reprenant, avec un titre à peine modifié (à partir de « Puisque nous sommes en guerre »), le texte d’une intervention en faveur de nos donations mensuelles, je parlerai à mon tour, et sans doute une fois de plus, d’une >guerre civile communicationnellebon chic bon genre< dans le New York Times et le Washington Post. Pour être juste dans les mots, je dirais que la situation de la communication du type zombieSystème n’est pas, chez nous, en Europe, similaire ou identique à la celle des USA, mais qu’elle est complètement analogue à elle. Vous comprenez,… Parce que nous sommes en guerre…

Le monde découvre le “Printemps Français”

Le monde découvre le >Printemps Françaisalternative< ; l'on connaît, enfin, l'importance que nous sommes obligés d'accorder, dans tous ces domaines, à la langue anglo-américaine dans la communication (y compris antiSystème) et à la communication de la presse antiSystème aux USA. (Dans ce cas, nous laissons de côté la presseSystème internationale et anglo-saxonne, et US certes, qui, elle, parle des Gilets-jaune depuis le début. Cette presseSystème est complètement orientée, sur la défensive devant tout ce qui rappelle la poussée populiste. Directement, elle n’a aucun rôle dans la recherche de la vérité-de-situation et une influence extrêmement réduite, sinon nulle dans le sens de la prise de consciences… Le monde découvre le “Printemps Français”

La triste leçon afghane de Gorbatchev

On sait que l’analogie Gorbatchev-Obama, sollicitée ou pas, hypothétique en attendant mieux, est un de nos sports favoris. Un spécialiste de la fin de l’URSS, Victor Sebesteyn, nous en donne quelques éléments le 29 octobre 2009, dans le New York Times, à partir de documents déclassifiés sur les délibérations au Kremlin, à propos de la guerre soviétique en Afghanistan, notamment à partir de 1985 et l’arrivée de Gorbatchev. (Sebesteyn donne aussi des précisions sur les conditions d’engagement de départ, en confirmant une interprétation souvent faite que les militaires ainsi que le KGB étaient opposés à l’intervention qu’ils prévoyaient très difficile, et que l’affaire n’a été… La triste leçon afghane de Gorbatchev

Zbig, l’“ami critique”, très critique…

Les interventions publiques de Zbigniew Brzezinski sont rares. L’homme est âgé et plutôt discret à cet égard, alors que certains lui prêtent une influence considérable sur l’actuel président des USA et sur sa politique étrangère. Cette appréciation va jusqu’à faire de Brzezinski l’inspirateur de certains aspects fondamentaux qu’on croit deviner dans cette politique étrangère, notamment dans ce qu’on lui imagine de vastes desseins cachés et de grandes manuvres d’enveloppement victorieuses, habilement dissimulés sous l’apparence de la déroute, de la défaite et du chaos (de cette même puissance). Donc, quand Zbig parle, écoutons-le. Dans la même logique proposée, Brzezinski est perçu comme un architecte, un stratège… Zbig, l’“ami critique”, très critique…

La plus grave crise entre Washington et Israël depuis Suez-1956?

La grande peur qui parcourt Washington aujourd’hui, nous dit le généralement-très-bien-informé Arnaud de Borchgrave, dans le Washington Times du 1er juin 2009, c’est la question du nucléaire terroriste «Nuclear terrorism, unthinkable during the Cold War, has become the most immediate fear of the experts.» L’analyse de Borchgrave concerne la question nucléaire en général, par rapport au terrorisme, c’est-à-dire la question nucléaire en connexion avec la Corée du Nord, le Pakistan, l’Iran, et la façon dont Al Qaïda pourrait obtenir des armes nucléaires. C’est une vaste et inquiétante situation, bien plus grave, bien plus tendue que celles que connut Borchgrave durant la Guerre froide, selon ce… La plus grave crise entre Washington et Israël depuis Suez-1956?

Musharraf, comme le Shah? – c’est si tentant

C’est à nouveau, c’est toujours le temps des analogies, comme si l’Histoire recommençait sans que nous en ayons rien appris après tout. Aux premières lueurs de la crise pakistanaise entrée dans son paroxysme, nous nous sommes rappelés de l’arc de crise cher à Brzezinski dans les années 1978-1980. Une nouvelle analogie fait florès, de la même époque, subsidiaire à la précédente mais bien plus précise, et bien peu encourageante pour le brav’ général Musharraf et pour la politique occidentale/américaniste: l’analogie du Shah. Deux auteurs choisissent cette analogie, pour commenter la situation pakistanaise et, surtout, pour caractériser l’aveuglement extraordinairement persistant de la politique extérieure US. Le… Musharraf, comme le Shah? – c’est si tentant

Retour à l’“arc de crise”, — mais il ne nous a jamais quittés

Qui est assez vénérable pour avoir été actif dans l’attention pour les affaires du monde se souviendra de l’expression favorite de Zbigniew Brzezinski des années 1978-1980: arc de crise. C’est ce croissant des terres bordant l’Océan Indien, de la Somalie à la frontière avec l’Inde, de l’Afrique australe au sous-continent indien. C’était, en Iran en 1978, la révolution khomeyniste (de l’ayatollah Khomeiny, au nom duquel le Shah avait été renversé), que l’amiral Turner, patron de la CIA, n’avait pas vu venir parce que l’ayatollah Khomeiny était un monsieur âgé; l’aggravation incessante de la situation en Afghanistan, avec un régime communiste et une rébellion islamiste en… Retour à l’“arc de crise”, — mais il ne nous a jamais quittés