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De la profondeur de l’“État-profond”

De la profondeur de l’>État-profondÉtat profond< par Macron, et le brouhaha fait autour de cela. Les réseaux >fakenewsistes< russes ont deux textes intéressants là-dessus, Spoutnik-France le 27 août 2019 avec un texte de Hakim Salek interviewant le spécialiste français des relations internationales Romain Mielcarek, et RT-France le 29 août 2019, avec un texte reprenant toute cette >affaire< sémantique et ses significations politiques (« Emmanuel Macron face au défi de >l’État profondofficiellement< aux USA par Donald Trump, qui fait en permanence fort grand fracas de sa >guerre< contre le DeepState ; il n’en reste pas moins que l’emploi de l’expression par un président français, comme l’a… De la profondeur de l’“État-profond”

Qui donc se souvient d’April ?

Qui donc se souvient d'April ? Nous étions en 1990, le 25 juillet, April Glaspie, première femme étasunienne ambassadeur dans un pays arabe, rencontrait Saddam Hussein en présence du ministre des affaires étrangères d'Irak, Tarik Aziz. Des troupes étaient concentrées en nombre anormalement élevé dans le Sud du pays, le long de la frontière avec le Koweït. Elle venait interroger l'homme qui fut l'allié des USA lors de la longue guerre Iran-Irak sur ses intentions, tout en lui donnant un signal explicite. James Baker lui faisait transmettre son message, les USA ne sont pas concernés par les conflits qui pourraient survenir entre des pays arabes.… Qui donc se souvient d’April ?

Les “dommages” de Cablegate : la preuve par April Glaspie

Devant la poursuite permanente des fuites de Wiki-câbles, le pouvoir américaniste au sein du Système change avec régularité d’attitude, selon ses interlocuteurs et selon les circonstances. On avait déjà vu, notamment et à titre d’exemple, les variations extraordinaires du vice-président Joe Biden sur le thème, le 20 décembre 2010. (Biden, le 16 décembre 2010 : «I don’t think there’s any damage» ; Biden, le 17 décembre 2010 : «This guy has done things that have damaged and put in jeopardy the lives and occupations of other parts of the world.»). Ce 19 janvier 2011, selon Guardian, des sources officielles proches du département d’Etat ont laissé… Les “dommages” de Cablegate : la preuve par April Glaspie

Quand April rencontrait Saddam

Quand April rencontrait Saddam Qui se souvient d’April Glaspie ? Plus personne ou presque, justement. April Glaspie est cette ambassadrice des USA à Bagdad qui, à la fin juillet 1990 (le 25), rencontre Saddam Hussein sur instruction expresse du département d’État et lui fait savoir à mots à peine couverts que les USA ne se considéreraient comme nullement impliqués si l’Irak lançait une opération contre le Koweït. C’est ce qu’on appelle un >feu vertde cause à effet< entre cet épisode et l'attaque de l'Irak du 19 mars 2003. Alors, que conclure? Eh bien, qu’il est du meilleur choix du monde d’avoir publié, il y a… Quand April rencontrait Saddam

“Le temps des complots”…

Ce n’est pas un hasard, même s’il y a le hasard de nos recherches et de nos consultations, si plusieurs textes qui ont trait de près ou de loin aux théories de complot paraissent simultanément sur notre site. Pour rappel, et peut-être pour inciter nos lecteurs à faire un lien entre tout cela :  Notre F&C sur Iran-Irak : le temps des complots.  Ce texte d’origine pakistanaise, publié le 25 décembre, qui rappelle le rôle d’April Graspie dans la première guerre du Golfe.  Nos textes sur les réflexions du Dr. Ganser, sur d’éventuels liens entre Gladio et 9/11. Il y a sans aucun doute une… “Le temps des complots”…