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antagonisme

La peur, partout…

La peur, partout… 26 avril 2024 (17H10) – C’est un argument bien connu et pratiqué d’avance, pour ouvrir toute conversation complotiste et antiSystème, que les élitesSystème utilisent la peur (peur de la maladie, >peur de l’Autrepeur de Poutine< [cette dernière avec mention spéciale du jury pour récompenser les esprits anémié]) pour faire régner l'ordre dans les rangs des joyeuses masses démocratiques et libérales. Ce n'est donc pas sans une certaine jubilation discrète que je constate qu'on peut aussi bien constater, – constat pour constat, – que la peur règne également dans les rangs des susdites-élites, c'est-à-dire entre elles, – lorsqu'elles se trouvent confrontés à l'une… La peur, partout…

Poutine, “Hitler nucléaire”

Poutine, Hitler nucléaire 16 mai 2014 D’une façon très générale, dans une époque où l’information officielle n’a plus aucun crédit à cause de sa perte complète de légitimité et donc son absence complète de ce que nous nommerions son autorité objective, la production de l’armement dans l’empire budgétaire opérationnalisée en usine à gaz qu’est le Pentagone est considérée essentiellement comme une activité totalement corrompue du système du technologisme dans le but quasi-exclusif de la production de profit. On ne prend plus aucune peine pour tenter de masquer cette vérité de situation, et l’industrie de l’armement US accrédite totalement cette thèse par un comportement stratégique univoque… Poutine, “Hitler nucléaire”

Notes sur une mornitude et une ternitude sans fin

Notes sur une mornitude et une ternitude sans fin En 2008, le vainqueur des présidentielles aux USA importait essentiellement, non parce que l’un ou l’autre des candidats fût un homme providentiel (même si l’un pensait l’être, et certains pensaient qu’il le serait), mais parce que l’Amérique entrait dans la crise colossale. Cette crise allait jouer un rôle essentiel dans la désignation du vainqueur. La compétition électorale fut sans intérêt, comme l’avait été quatre ans plus tôt la course Bush-Kerry, mais les évènements avaient décidé de lui donner un tour tragique, dès le 15 septembre 2008. Ainsi suivit-on effectivement the race et l’élection de Barack Hussein… Notes sur une mornitude et une ternitude sans fin

Un anniversaire à couteaux tirés

Cette année, la commémoration de l’attaque du 11 septembre 2010 sera très différente de ce qui a précédé. Nous avions observé cette évolution du symbolisme de 9/11 le 31 août 2010, et nous poursuivrons demain cette analyse. Dans ce cas, il s’agit d’un long article de Politico.com, qui présente ce 9 septembre 2010, une commémoration qui va être marquée aux USA par la désunion, l’affrontement, la rancœur politicienne et la radicalisation des antagonismes. «This year, September 11 is going to include something different — politics, and lots of it. »On the eve of the ninth anniversary of the terrorist attacks on Washington and New York,… Un anniversaire à couteaux tirés

Turquie-Israël, la logique de la confrontation

La fureur de Erdogan, rentrant dare-dare du Chili et condamnant un acte de terrorisme d’Etat inhumain est désormais chose connue. Elle marque l’humeur des relations entre la Turquie et Israël après l’attaque de la flottille humanitaire, composée de navires turcs, vers Gaza. Voici quelques précisions sur cette situation. La première est l’annonce qu’il y aura sans doute d’autres flottilles et qu’elles seront, cette fois, protégées par la marine turque. (Sur Alternet.org le

Un facteur important: l’antagonisme furieux BHO-Bibi

On trouve nombre d’articles relatant les conditions de la rencontre entre Barack Obama, dit BHO, et Benjamin Netanyahou, dit Bibi, à la Maison-Blanche, le 23 mars pour un déjeuner de travail commun qui n’eut finalement pas lieu. Les Israéliens étaient confiants pour un arrangement après d’excellents contacts au Congrès, ménagés par l’habituel AIPAC et le climat de pression et d’influence qu’on connaît. La réception qu’ils reçurent à la Maison-Blanche fut d’autant plus dévastatrice. Après avoir constaté le refus de Bibi de répondre à ses exigences, BHO abandonna le même Bibi à ses propres conseillers de l’équipe de la Maison-Blanche pour aller dîner avec sa femme… Un facteur important: l’antagonisme furieux BHO-Bibi