Aller au contenu

ans

Des événements véritablement fascinants

>Des événements véritablement fascinantsC’est les 24 heures du Mans de la connerie qui ne cessent de recommencer, jour après jour, 24 heures après 24 heures, connerie après connerie, comme dans le film-culte dit ‘Le Jour sans fin‘ [ou ‘Le Jours de la marmotte‘ au Québec, ou ‘Groundhog Day‘ aux USA], où la même journée ne cesse, chaque jour et jour après jour, de se reproduire à l’identiquecollègue< dont je tairais le nom pour éviter son arrestation pour organisation de sédition de la marmotte avec l'emploi de mots débordant le cadre des feuilles de route de l'UE. » Je répète : >Il n’empêche, je ne fais… Des événements véritablement fascinants

Jacques-Éric, « Nous n’irons plus au bois… »

Jacques-Éric, « Nous n’irons plus au bois… » 9 mai 2021 – Une plume amie me l’avait recommandée, une autre avait confirmé cette recommandation, et ainsi me suis-je exécuté. Sur CNews, chaîne française d’infos-en-continu où la droite triomphe et qui vient de passer en tête en parts d’audience, – et c’est un grand événement dans le cimetière des fossiles, –c’était, vendredi soir, un duel entre Éric (Zemmour) et Jacques (Attali). Je cite les deux plumes amies à l’insu de leur plein gré, l’une après l’autre, dans leurs consignes à moi implicitement données de m’instruire de cette joute si postmoderne qu’elle en serait destinée à devenir… Jacques-Éric, « Nous n’irons plus au bois… »

Jacques-Éric, « Nous n’irons plus au bois… »

Jacques-Éric, « Nous n’irons plus au bois… » 9 mai 2021 – Une plume amie me l’avait recommandée, une autre avait confirmé cette recommandation, et ainsi me suis-je exécuté. Sur CNews, chaîne française d’infos-en-continu où la droite triomphe et qui vient de passer en tête en parts d’audience, – et c’est un grand événement dans le cimetière des fossiles, –c’était, vendredi soir, un duel entre Éric (Zemmour) et Jacques (Attali). Je cite les deux plumes amies à l’insu de leur plein gré, l’une après l’autre, dans leurs consignes à moi implicitement données de m’instruire de cette joute si postmoderne qu’elle en serait destinée à devenir… Jacques-Éric, « Nous n’irons plus au bois… »

Esclavage et planche à billets

Esclavage et planche à billets Dans l’espèce de chorémanie, ou folle embardée de danse de Saint-Guy qui a saisi et qui emporte l’Amérique en sarabande, – une « dépression nerveuse nationale » nous dit plus sobrement notre auteur ci-dessous, – l’affaire de la compensation de l’esclavage en espèces dissonantes et trébuchantes pourrait tenir une place très singulière. Robert Bridge la présente dans le texte ci-dessous sous l’angle du point de vue du candidat démocrate Joe Biden, qui a été l’objet d’une demande directe d’un élu Africain-Américain devant une assemblée démocrate de la même communauté, – en lui mettant le marché en mains sans la moindre… Esclavage et planche à billets

L’hypersonique US : encéphalogramme plat

L’hypersonique US : encéphalogramme plat D’abord, la nouvelle donnée par Spounik-français nous rappelle, – ou nous apprend pour ceux qui, comme nous, l’ignorions, – que le président Trump a fait une rapide intrusion dans le domaine des missiles hypersoniques pour nous rassurer. L’Amérique travaille dans ce domaine, dans toute sa certitude pour être Great Again, – et puis, d’ailleurs et bien entendu, elle l’est déjà comme elle l’est toujours (Forever Great) avec ses missiles actuels, qui ne sont pas précisément de cette catégorie telle qu’elle est développée et déjà déployée par la Russie, – mais qu’importe : « La semaine dernière, le président américain Donald… L’hypersonique US : encéphalogramme plat

Faire avec la Corée du Nord, sans taper..

Faire avec la Corée du Nord, sans taper.. Scott Adams, créateur du personnage de bandes dessinées Dilbert, s’est intéressé comme on le sait à la politique durant la campagne des présidentielles USA-2016. Il y apporta des idées originales, non-conventionnelles, qui lui valurent bien des haines et du mépris. C’était donc le signe qu’il faisait montre de bon sens et de liberté d’esprit. Même chose pour cette proposition qu’il fait pour résoudre le conflit de la Corée du Nord d’une façon décente et civilisée, sans frapper, bombarder, détruire, tuer, bref taper comme nous autres civilisés nous sommes habitués à faire systématiquement, avec une joie hagarde et… Faire avec la Corée du Nord, sans taper..

Notes sur les recommandations du général Clark

Notes sur les recommandations du général Clark 21 juillet 2015 – Le général Clark a fait le 17 juillet à la télévision MSNBC une déclaration particulièrement remarquée, en commentaire de la dernière fusillade en date aux USA, à Chattanooga la semaine dernière, dans un établissement militaire (quatre Marines tués). Il a déclaré qu’il fallait interner d’une façon préventive les >personnes radicaliséeslibéral< malgré son état d'ancien général (on verra cela plus loin). Un texte de Murtaza Hussain, le 20 juillet 2015 sur le site The Intercept de Glenn Greenwald, qui dénonce évidemment ces propos, est surtout intéressant par l’étonnement dont nous fait part l’auteur à partir… Notes sur les recommandations du général Clark

Poutine, l’Irak 10 ans après et la “démence stratégique”

Poutine, l’Irak 10 ans après et la démence stratégique Le terme anglo-saxon de strategic insanity peut avoir différentes traductions. Nous avons choisi celui de démence stratégique pour ne pas introduire le terme de folie qui a plusieurs connotations à cause de son emploi multiple, et en écartant l’expression stratégie de la démence (ou stratégie de la folie) qui pourrait impliquer un calcul, une empreinte de la raison dans l’exécution d’une stratégie à desseins divers qu’on camouflerait sous l’apparence de la démence ou de la folie. Dans l’expression démence stratégique, c’est le terme démence qui importe, et, pour nous sa puissante connotation psychologique, avec le mot… Poutine, l’Irak 10 ans après et la “démence stratégique”

Cela fait dix ans

Cela fait dix ans Dix ans ce n’est pas l’âge de raison. Le 20 mars 2003, une coalition organisée autour des US(a) a envahi l’Irak sous la forme inédite d’une agression militaire préventive pour épargner à l’humanité l’emploi d’armes de destruction massive inexistantes par un régime dictatorial aux abois après un embargo de 13 ans et pour apporter par les armes en bénéfice secondaire la démocratie au peuple irakien. Dix ans après, le pays est très loin d’avoir retrouvé le niveau des infrastructures dont il jouissait avant le premier cataclysme qu’il a essuyé de la part de l’occident en 1991. L’hypothèse basse de 1,5 millions… Cela fait dix ans

L’âge de Paul

L’âge de Paul Avec le grand nombre d’articles concernant la prestation de Ron Paul à la convention de la CPAC à Washington les 20 et 21 février 2010, un facteur est resté dans l’ombre ou a été très peu évoqué, celui d’une candidature effective de Ron Paul en 2012, – alors que le sondage le plaçant en tête portait effectivement sur une telle préférence. Un court article de Politico.com, du 22 février 2010, évoque cette possibilité, en passant, sans s’attarder sur le sujet, mais en impliquant qu’une candidature serait tout à fait concevable. Il y a un point à mettre en évidence ici. En 2012,… L’âge de Paul

La guerre de 40 ans, est-ce un bon argument électoral?

D’abord, nous nous interrogeons, un peu naïfs: pourquoi 40 ans? Pourquoi pas 50 ans, ce qui sonnerait mieux, plus chiffre rond, non? L’ambassadeur du Royaume-Uni à Washington avait parlé, plus poétiquement, très récemment, d’un certain nombre de décennies ou quelque chose du genre. Le nouveau chef d’état-major des forces armées britanniques nous annonce que la guerre UK en Afghanistan durera au moins 40 ans Et puis non, rengainons nos ironies, pour découvrir que, prudent, le général nous a, en réalité, précisé les choses avec l’imprécision qui importe: en fait, l’Afghanistan devrait durer quelque chose autour de 30 à 40 ans. Nous sommes, nous l’avons dit,… La guerre de 40 ans, est-ce un bon argument électoral?

Portrait de soldat (II)…

Sont-ils dans la même réalité? De quelle réalité parlons-nous ? Qu’est-ce que ça, la réalité? Après le lieutenant général Chiarelli, qui s’écroule devant les journalistes, presque en larmes, à son départ d’Irak, voici le brigadier général Mark O. Schissler, de l’Air Force (toujours U.S., of course). Changement complet de ton. L’un s’effondre, l’autre tient droitement le monde dans ses mains. Avec Schissler, ça va marcher droit. Pardon, avec Schissler, c’est la guerre apocalyptique, la guerre de cent ans, la guerre de tous les temps, avec cette angoisse du formidable guerrier du Pentagone : tiendront-ils, à l’arrière, ces connards de civils? Car Schissler, lui, tient et… Portrait de soldat (II)…