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Assange ? “C’est pas mon truc”

Assange ? >C’est pas mon truclibé-chic< (type-Guardian, The Independent, BBC), réputée pour son libéralisme et son affection pour les >valeurs< auxquelles il nous est ordonné à tous de faire les dévotions qui importent, – droits de l'homme, liberté de la presse et autres viennoiseries ; lesquels journalistes, puisque c'est leur titre, s'affichent comme dotés d'une grande liberté d'esprit critique et s'alignant par conséquent et fort vertueusement pour la suite sur les méthodes cruelles, illégales et dignes du crime organisé des autorités anglo-saxonnes. Rien à redire à cet égard, dans le rangement duquel le caractère de zombie-luciférien a sa place là où il faut, et l'enthousiasme… Assange ? “C’est pas mon truc”

Rohrabacher, avec Assange dans sa musette ?

Rohrabacher, avec Assange dans sa musette ? Mercredi, le député républicain de Californie Dana Rohrabacher a été rendre visite à Julian Assange, l’homme de WikiLeaks, toujours cloitré dans son extraordinaire odyssée, à l’ambassade de l’Equateur à Londres. Cette visite était en elle-même remarquable, puisque la première d’une personnalité politique officielle US de ce niveau. D’autre part, Rohrabacher est connu comme un maverick rarissime, assez ami de Poutine et pas vraiment ennemi d’Assad, c’est dire… Rohrabacher avait rencontré Trump après l’élection et certains avaient espéré un poste diplomatique important pour lui. Peine perdue… Par contre, Rohrabacher rapporte des nouvelles qu’il juge importantes d’Assange. Il estime que… Rohrabacher, avec Assange dans sa musette ?

Benghazi et la “doctrine Ponce-Pilate” de BHO

Benghazi et la doctrine Ponce-Pilate de BHO Le secrétaire à la défense US Leon Panetta, les traits de plus en plus ravinés, sans doute par l’exercice du pouvoir et la bénédiction papale malgré tout accordée, a été entendu par le Congrès le 7 février, sans doute pour la dernière fois ès qualité. Et sans doute (bis) est-ce la raison pour laquelle il s’est un peu laissé aller à ce dangereux penchant de ne pas dissimuler la vérité, ou dans tous les cas la réalité des faits. Le sujet de cette audition était l’attaque de l’ambassade des USA à Benghazi, le 11 septembre 2012, ayant abouti… Benghazi et la “doctrine Ponce-Pilate” de BHO

Égypte, plus tout à fait notre amie…

Égypte, plus tout à fait notre amie Les troubles se poursuivent en Égypte, concentrés autour de l’ambassade US au Caire, portant sur le fameux et mystérieux film antimusulman d’origine diverse et incertaine, et occasionnant des prises de position dont on doit dire qu’elles offrent une ambiguïté intéressante. Nous parlons, successivement, de BHO et de Morsi, dont certaines déclarations les concernant, de l’un vers l’autre et du second vers le premier, ont le plus grand intérêt à être déchiffrées et mises au net. PressTV.Com rapporte ce propos du président Obama, le 13 septembre 2012, observant que l’Égypte n’est ni une alliée, ni un ennemie, ou bien… Égypte, plus tout à fait notre amie…

L’Egypte à la dérive, mollement…

En effet, nous parlons dans ce cas d’une dérive molle ou, plus aimablement dit, d’une dérive douce, marquée essentiellement par la faiblesse et l’inintelligence du pouvoir actuel, les militaires du SCAF (Supreme Council of Armed Forces), conseillé par l’ambassade des USA selon les termes assez justes de Webster Griffin Tarpley (voir plus loin). Deux textes, orientés différemment, nous permettent d’avoir une bonne idée de la situation actuelle de ce pays ; ils sont de deux auteurs en général antiSystème, ou hors du courant de pensée de la presse-Système, mais de tendances différentes. Leurs observations et leurs opinions peuvent être considérés comme libres des influences-Système sur… L’Egypte à la dérive, mollement…

Conversation autour d’une ambassade dévastée, au Caire

Il y a eu de nombreux récits de l’attaque de l’ambassade israélienne au Caire, et avec eux les sentiments et réflexions que cette attaque a fait naître. En général, les élites égyptiennes, y compris, et même surtout, dans l’opposition libérale au régime Moubarak ou aux restes du régime Moubarak, forces politiques autour du centre-gauche disons, se sont montrées très critiques de cet incident. Cet aspect-là des réactions nous a paru assez intéressant pour que nous nous y attachions spécifiquement. Ces réactions permettent de mieux saisir la position d’une partie importante du monde politique égyptien, la plus réformiste, la plus proche, peut-être pas nécessairement du modèle… Conversation autour d’une ambassade dévastée, au Caire

Bibi-2011, comme l’IDF face au Hezbollah en 2006

Les perspectives immédiates ne sont pas véritablement formidables. Les quelques lignes terminant un article de The Observer du 11 septembre 2011 décrivent quelques données de la situation pour Israël «The situation with Turkey is not good, and the situation with Egypt is not good, said the Israeli official. We hope this is not a sign of things to come. »Both Turkey and Egypt are supporting the bid to have a Palestinian state recognised at the UN general assembly. Israel is braced for what its defence minister, Ehud Barak, described as a diplomatic tsunami. The US which has pledged to veto Palestinian statehood is frantically trying… Bibi-2011, comme l’IDF face au Hezbollah en 2006

La tenaille furieuse

La tenaille furieuse 10 septembre 2011 Israël est pris dans une tenaille furieuse, dont la fureur s’exprime dans ses deux mâchoires de manière différente, mais dans des circonstances telles qu’on pourrait croire à une coordination entre les deux. Il n’en est rien, pour ce qui est de la coordination, dans tous les cas rien d’une coordination humaine ; les événements se chargent de la coordination, avec une maestria et un ensemble qui mettent en évidence une situation soudain dramatique pour Israël, en même temps que l’arrivée à maturation de toutes les situations potentielles de confrontation jusqu’alors contenues par la main mise du bloc américanistes-occidentalistes sur… La tenaille furieuse

Suggestion: pourquoi n’installerait-on pas la Maison-Blanche dans la “Green Zone” de Bagdad?

Le Pentagone ayant un peu d’argent de poche inemployé dans les poches des autres, se propose d’investir $5 milliards dans la Green Zone de Bagdad pour y faire installer un complexe hôtelier et quelques autres babioles dont on imagine d’ici le caractère luxueux, postmoderne et civilisateur. Ainsi, par cette nouvelle tactique inattendue et si créatrice, le cerveau conceptuel de l’américanisme espère-t-il peut-être (hypothèse de notre part) convertir les Irakiens qui rechignent encore aux délices de la démocratie, du marché libre, des commissions et des lendemains qui chantent. L’Associated Press a eu vent, qu’on peut même qualifier de vent divin (kamikaze en japonais), de ce projet… Suggestion: pourquoi n’installerait-on pas la Maison-Blanche dans la “Green Zone” de Bagdad?

Vertigo in Bagdad

Vertigo in Bagdad Nous sommes impardonnables d’avoir raté ce tableau des scènes de la vie quotidienne in Bagdad-on-Potomac. Nous y revenons donc, dans le Washington Post du 24 mai. En lisant cet article, en effet, vous saurez tout sur la situation culinaire in Bagdad-on-Potomac. Nous apprenons l’affreuse nouvelle de l’interruption temporaire, due au mauvais temps paraît-il, des convois alimentaires amenant la bonne bouffe destinée aux résidents de la Green Zone (GZ), rebaptisée International Zone (IZ). La crise est passée inaperçue bien qu’elle ait été sévère, notamment à cause du manque d’ice creams et de l’affreuse circonstance où les résidents de la IZ, tous authentifiés non-Irakiens… Vertigo in Bagdad

Mais n’est-ce pas plutôt un monument grotesque qu’une ambassade monstrueuse?

Sans nul doute, le point le plus important dans cette étrange affaire de l’ambassade US de Bagdad, c’est que si peu de monde en mesure le grotesque. Cette ambassade monstrueuse, gargantuesque, qui semble être l’ambassade de toutes les ambassades (la mère de toutes les ambassades?), sert-elle vraiment à sa fonction d’ambassade capable de conduire tous les coups pendables auxquels nous a accoutumés l’américanisme qui se trouve toujours chez les autres comme chez lui ? Tom Engelhardt s’essaie à un exercice de définition, ce jour même sur son site TomDispatch.com. Bien entendu, il est inévitablement conduit à des hypothèses surréalistes, dont il trouve d’ailleurs aisément les… Mais n’est-ce pas plutôt un monument grotesque qu’une ambassade monstrueuse?

Une “horreur diplomatique” : l’ambassade US à Bagdad

L’ambassade US à Bagdad est un must résumant la monstruosité et les erreurs de la campagne américaniste en Irak. Un texte du Washington Post du 2 mars donne quelques précisions qui confirment largement ce jugement. L’ambassade de Bagdad est, de loin, la première mission diplomatique US à l’étranger : en personnel (1.000, contre 590 à l’ambassade de Mexico, 430 à l’ambassade de Pékin et 429 à l’ambassade de Londres) ; en budget de fonctionnement ($923 millions, contre $49 millions à celle de Pékin, $36 millions à celle de Mexico, $31 millions à celle de Londres). La moitié du personnel dépend du département d’Etat, le reste… Une “horreur diplomatique” : l’ambassade US à Bagdad