Farce ou force de l’incantation
Farce ou force de l’incantation 26 juillet 2008 «His appearance had the air of a rock concert, with a teeming crowd hooked on every word», explique le Scotsman du 25 juillet. C’était Obama à Berlin, où cela se passa de cette façon : «It was part John F. Kennedy, part Martin Luther King and part Ronald Reagan. But in the end, it fused into one man: Barack Obama.» Les Européens découvrent, avec Obama, une formidable machine de reconstruction de la réalité, plus que jamais américanisée dans la méthode, et dans les rapports avec les autres. Le Monde détaille, le 25 juillet, quelques aspects de l’organisation… Farce ou force de l’incantation