In extremis…
In extremis… 12 avril 2012 – Nous avions déjà trempé notre plume, nous l’avouons, dans une encre goguenarde, un rien méprisante, à peine amère mais déjà haussant les épaules (c’est une encre aux capacités révolutionnaires), avant de nous mettre à un texte sur la campagne des présidentielles françaises. Nous avons dû changer d’encrier, – in extremis, certes, comme nous l’indique notre titre, – mais quoi, il ne faut pas bouder, sinon son plaisir, dans tous les cas son intérêt… Il s’agit du vide jusqu’alors mesuré presque scientifiquement du non-débat en matière de politique extérieure, de politique de sécurité nationale, en fait de ce qui reviendrait… In extremis…