Pleure, ô mon pays bien-aimé
Pleure, ô mon pays bien-aimé 5 juillet 2015 – C’est un vrai, un excellent article, plein d’une nostalgie teintée d’amertume, de désenchantement sans véritable rancune, de conviction d’une époque de la fin des Temps qu’il faut affronter avec une sorte de fatalisme qui n’est pas exempt d’une lucidité courageuse, – qu’on se plairait, malgré tout cela, malgré ce poids terrible, à croire féconde… Et tout cela, fait rarissime, de la plume d’un Américain, chroniqueur certes semi->dissident< mais de si bonne réputation qu'on l'accepta parfois à la marge du Système et que le Système put paraître regretter de ne pouvoir l'engager sous son aile, malgré l'incompatibilité… Pleure, ô mon pays bien-aimé