La Syrie et le risque suprême
Dans une situation changeante de jour en jour, les quinze derniers jours resteront certainement comme une phase extraordinaire d’un flux diluvien d’affectivisme, avec toutes les manipulations possibles dans cette sorte de climat >intellectuel< réduit aux réactions de psychologies emportées par leurs faiblesses et la confusion ainsi produites. Bien entendu, la séquence n'est pas finie et les changements les plus extravagants sont et restent possibles: il n'y a rien de politique dans tout cela, mais bien cet emportement où dominent les réactions primaires de l'émotion et les interférences primaires de l'hystérie belliciste. Pour tenter de fixer la situation à l’heure présente avec toutes les réserves que… La Syrie et le risque suprême