La Grâce de l’Histoire, Tome I
• Présentation du livre, premier tome du projet, dit-Troisième Cercle. • Aperçu de l’ensemble du projet, avec présentations succinctes des trois tomes. • Présentation de l’auteur. • Conditions de commande auprès du site dedefensa.org/Euredit SPRL.
La Grâce de l’Histoire est une étude sous forme de récit ambitionnant d’aller aux racines de la grande crise que notre civilisation connaît présentement. Le projet comprend trois tomes, successivement baptisés Troisième Cercle, Deuxième Cercle et Premier cercle. Dans ce premier Tome (Troisième Cercle), on analyse la séquence historique identifiée comme la dynamique conduisant à la crise actuelle, à partir de la rupture de la fin du XVIIIe siècle avec ses trois événements fondamentaux : la Révolution américaniste (guerre d’Indépendance des USA, la révolution du choix de la thermodynamique engendrant le développement industriel et technologique et la Révolution Française. Ces trois évènements sont chronologiquement datés de 1776 (Déclaration d’Indépendance des États-Unis), de 1784 (invention de la machine à vapeur), de 1789 (États Généraux, prise de la Bastille, etc.).
Dans la dynamique de cette séquence historique qui vient jusqu’à nous, la Grande Guerre de 1914-1918 occupe une place centrale, à la fois pivot de la dynamique en question, à la fois >réplique sismique en amont< annonçant notre grande crise du début du XXIe siècle. Cette approche entièrement nouvelle de la Grande Guerre vaut essentiellement par l'identification des causes souterraines cachées, d'une très grande puissance, courant depuis le début du XIXème siècle (d'ailleurs se poursuivant après la Grande Guerre). Dans cette conception qui fait une part très réduite à la politique, la Grande Guerre est interprétée comme un événement majeur de civilisation caractérisé pas une catastrophe technologique engendrant des destructions et des pertes épouvantables. Il ne s'agit en aucun cas d'un accident et d'une aberration, mais bien d'une poussée paroxystique d'une civilisation en crise, que nous retrouvons dans notre époque présente, sous d'autres formes.
Autour de ce pivot de la réflexion qu’est la Grande Guerre, La Grâce analyse le développement de la puissance allemande jusqu’à la Grande Guerre, le développement de la puissance des USA, le rôle de la France, enfin les deux grands courants de la modernité que sont le système du technologisme et le système de la communication.
Aperçu du projet général
Pour que le lecteur est une vision plus globale de l’ensemble du travail (les trois tomes de La Grâce), nous donnons ici un extrait de l’introduction au Tome I, présentant les trois parties.
« Nous parlons de l’architecture définitive de l’œuvre, qui s’est finalement constituée en trois parties distinctes, considérées comme trois >Cercles>, se rapprochant de plus en plus du centre, et donc dans cet ordre inverse de la numérotation des tomes, – Troisième Cercle (premier tome), Deuxième Cercle (deuxième tome), Premier Cercle (troisième tome). Nous allons rapidement donner une définition de ces trois parties, pour au moins offrir une approche succincte de la cohérence générale du récit.
» Le >Troisième Cercle<, qui est le présent ouvrage, offre une première approche de la période historique considérée comme essentielle du point de vue événementiel. Il s'agit de notre vision de l'histoire de notre civilisation, dans le Moment où se noue le drame dont notre époque présente (le début du XXIème siècle) est la représentation finale. C'est un premier cercle historique, qui se limite à la période entre la fin du XVIIIème siècle et l'époque présente, et qui représente selon nous une >seconde civilisation occidentale<, ou encore, comme nous nommerons plus tard cette période, la >contre-civilisation< succédant à la civilisation occidentale. Il doit apparaître dans ce récit, dans la façon dont il est développé, que l'approche historique, qui a évidemment sa place et qui a été fortement étoffée, est tout de même insuffisante si l'on s'en tient à elle. Elle nous dit beaucoup de choses mais nous suggère également et avec une force pas loin d'être impérative que, pour en savoir plus, il importe de passer de la dimension historique à la dimension métahistorique.
» Le >Deuxième Cercle<, qui forme le deuxième tome de l'ouvrage, répond à cette exigence du changement de dimension. Le récit s'élargit mais surtout, il se hausse. Il s'élargit à un espace historique beaucoup plus étendu puisqu'il nous emmène jusqu'à la Renaissance d'une façon générale ; même, par le biais d'une partie du récit qui l'exige (la deuxième), jusqu'à la fin de l'empire romain en offrant une remontée exceptionnelle dans le temps historique pour décrire le destin du Christianisme des origines jusqu'à nos jours ; enfin, par le biais d'une autre partie (la sixième), qui étudie directement le domaine de la forme de la civilisation qui a précédé la civilisation chrétienne et occidentale, et notamment pour la question essentielle du refus des Anciens de prendre la voie du développement des technologies pour le développement économique. Pour le reste, nous recoupons une partie de ce qui était examiné dans le Troisième Cercle, en revenant sur la fin de ce deuxième tome, à partir d'un autre point de vue, sur des époques qui y étaient déjà parcourues. Il est manifeste que, dans ce Deuxième Cercle, nous passons de la dimension historique qui transforme dans notre propos l'architecture habituelle en la restructurant, à la dimension métahistorique, c'est-à-dire avec la métaphysique comme principal constituant de l'histoire (et l'Histoire alors considérée étant ornée d'une majuscule dans notre arsenal sémantique). On comprend par conséquent que le recoupement signalé plus haut, pour les époques déjà considérées, ne signifie en rien, ni une redite, ni une variation sur un même thème, mais une approche complètement différente.
» Le >Premier Cercle<, qui forme le troisième tome de l'ouvrage, est bien entendu le plus ambitieux puisqu'il va au cœur. Il entend proposer une appréciation métaphysique générale, hors des contraintes référentielles de notre histoire ou métahistoire, mais en se servant de ces références pour éclairer le propos et le substantiver. L'idée générale est effectivement que notre civilisation >occidentale et chrétienne<, par sa rupture originale en deux périodes (civilisation avec une décadence métahistorique, accélérée et transmutée par une rupture, avec sa transformation en contre-civilisation), présente un modèle exceptionnel et peut-être unique pour le cycle envisagé, permettant d’abord, mais surtout nécessitant impérativement un appel à la métaphysique pour tenter d’approcher une compréhension satisfaisante. En choisissant cette voie intellectuelle, il apparaît évident qu’on ne peut éviter les grandes questions de la métaphysique ; c’est autour d’elles, avec elles et au cœur d’elles-mêmes que se régleront les comptes finaux de ce récit.
» Voilà la structure et l’ossature de La Grâce de l’Histoire, telle qu’elle nous est proposée aujourd’hui, et telle que nous l’envisageons par conséquent. Nous ne dissimulons pas que certains changements sont encore possibles alors que cette introduction ouvre le premier tome et le Troisième Cercle mais il semble que nous puissions affirmer qu’aucun de ces changements ne sera fondamental. »
L’auteur
Du plus loin qu’il s’en souvienne (cela nous fait remonter à 1953, alors à Alger), Philippe Grasset n’eut jamais qu’une seule raison d’être : écrire. Il écrivit son premier roman entre 17 et 19 ans et, par tous les bonheurs du ciel, la chose, qui était informe, fut refusée par les quelques éditeurs consultés. Nous l’avions échappé belle. Il devint journaliste à l’âge de 23 ans, puis commentateur des affaires du monde, intéressé par les choses militaires, stratégiques, politiques, etc. Cela aurait du se passer à Paris, où il prétendait réussir, mais cela se fit en Belgique, à Liège. En 1985, à l’âge de 41 ans, il quitta le circuit officiel à l’issue d’une violente polémique et s’institua indépendant. Ce fut la Lettre d’Analyse bimensuelle dedefensa & eurostratégie (dd&e) devenue dde.crisis (de septembre 1985 à janvier 2012) ; entretemps, à partir de 1999, ce fut et cela reste le site dedefensa.org… Philippe Grasset à écrit quatre livres dont un roman : La drôle de détente (1978), Le regard de Iéjov (1990, roman), Le monde malade de l’Amérique (1999), Chroniques de l’ébranlement (2003). Tous ces livres furent des échecs commerciaux si retentissants qu’ils auraient mérités d’être célébrés dans nos mémoires. PhG a participé à l’album photographique Les Âmes de Verdun (2008), dont il signa le texte. La Grâce de l’Histoire, qui paraît ce mois de janvier 2014, est une co-édition, où le site dedefensa.org (sous la forme d’une société, Euredit SPRL) est partie pour moitié.
Le prix de La Grâce de l’Histoire, frais de port compris, est de €26. Indiquez chaque fois, s’il vous plaît, dans le message accompagnant votre versement : >Commande d’un (de plusieurs) exemplaire(s) de La Grâce d’l’Histoire, tome I<. Dans le cas d'un virement à partir d'un pays autre que la Belgique sur notre compte en Belgique, indiquez la mention >Partage de frais< pour réduire au maximum les frais de transfert. Voici les diverses formules de paiement...
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